Das Marsupilami, ein legendäres Tier, das im Herzen des Dschungels von Palumbien lebt, wird 1952 von André Franquin in einem frühen Abenteuer von Spirou und Fantasio geboren. Sehr schnell bekommt dieser außergewöhnliche Charakter eine eigene Serie von Batem und findet sich inzwischen sogar auf Fernsehbildschirmen und Kinoleinwänden wieder.
Heute huldigen die Autoren einer neuen Generation dem berühmten Wundertier. Dies ist der zweite Band einer Reihe fantastischer Kurzgeschichten.
Né à Namur le 30 novembre 1962, Denis Bodart passe par l'école Saint-Luc de Bruxelles et entame une brève carrière dans l'enseignement avant d'être saisi par le démon de la BD. Il publie en 1985 un premier album chez Bédéscope ("Saint-Germain des Morts", sur scénario de Streng), qui lui vaut d'être repéré par Yann. Les deux compères lancent simultanément deux séries, "Célestin Speculoos" (deux albums chez Glénat) et "Nicotine Goudron" (deux albums chez Albin Michel), et réalisent un épisode de "Chaminou" pour Marsu Productions ("L'Affaire Carotassis").
Depuis 1995, Bodart figure (trop rarement) au sommaire de SPIROU avec d'excellentes histoires courtes au dessin d'une virtuosité surprenante, sur des scénarios de Janssens, Sauger, Thiriet, Zidrou et Veys. Il tâte de tous les genres avec des albums tels que "Les Aberrants" (sur scénario de Lamquet chez Lefrancq), "F1 93 : Prost-Senna, le défi" (textes de Froissart à La Sirène) ou le collectif "Johnny, les années 60" aux Presses de la Cité.
Avec son iconoclaste complice Yann, il participe au décryptage de l'oeuvre d'Andersen dans le premier volume de la série "Sales petits contes" : "La Porchère qui avait perdu son ombre" est de l'humour (très) libre sur l'époque médiévale.
Depuis, il anime avec Vehlmann les contes de "Green Manor", toujours pour la collection "Humour Libre".
Dos estrellas porque algunas ilustraciones son preciosas, pero el gran problema de estos tributos es dejar en manos de los dibujantes las historias, que no tienen prácticamente interés. Narraciones poco trabajadas y que no aportan nada de nada. Una verdadera lástima. Tal vez una propuesta en la que un buen guionista trazase las historias y los ilustradores pudiesen marcar su estilo sería mucho mejor.