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Chaveyriat

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Chaveyriat
Chaveyriat
Église Saint-Jean-Baptiste de Chaveyriat.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Ain
Arrondissement Bourg-en-Bresse
Intercommunalité Communauté de communes de la Veyle
Maire
Mandat
Claude Jacquet
2020-2026
Code postal 01660
Code commune 01096
Démographie
Population
municipale
1 036 hab. (2021 en évolution de +3,29 % par rapport à 2015)
Densité 61 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 11′ 55″ nord, 5° 03′ 40″ est
Altitude Min. 188 m
Max. 260 m
Superficie 16,87 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bourg-en-Bresse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vonnas
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Chaveyriat
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Chaveyriat
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Chaveyriat
Liens
Site web chaveyriat.fr

Chaveyriat (prononciation ∫a.vɛ.rja) est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

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Cette commune est située entre Bresse et Dombes dans le département de l'Ain et le canton de Vonnas. Elle est arrosée par un petit affluent de la Veyle nommé Irance.

Localisation

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Chaveyriat dans l'Ain et le canton de Vonnas.


Communes limitrophes

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Points extrêmes

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Hydrographie

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Cours d'eau

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  • Au sud du bourg traverse l'Irance, elle continue vers l'ouest avant de se jeter dans la Veyle à Mézériat.
  • Le bief de le Voux traverse le sud de Chaveyriat et se jette dans l'Irance après avoir traversé l'étang de Corand.
  • Le bief des Marais Genillon prend sa source près de La Chanay puis se jette dans la Veyle à Vonnas.

Plans d'eau

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Chaveyriat étant entre Bresse et Dombes, on trouve quelques étangs au sud de la commune dont l'étang de Corand, l'étang Guillet. Au nord, il y a l'étang Malachère.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 986 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marlieux à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports

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Axes de communication.

Réseau routier

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Route départementale D 26.

Voies ferroviaires

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En 1898, la ligne de Jassans à Bourg, gérée par la Compagnie des Tramways de l'Ain et longue de 47 km fut ouverte et traversait la route D 936. Victime du progrès, la ligne fermera en 1937.

Aujourd'hui, aucune voie ne traverse la commune mais la ligne de Mâcon à Ambérieu, desservie par les TER de la région Rhône-Alpes[7], passe à proximité. Les trains TER de la ligne s'arrêtent aux gares de Vonnas et de Mézériat.

Au , Chaveyriat est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourg-en-Bresse, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41 %), prairies (33 %), forêts (16,3 %), terres arables (5 %), zones urbanisées (4,5 %), eaux continentales[Note 2] (0,2 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Panneau d'entrée du village.

Anciens noms

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La première mention de la commune date de 933 sous le nom de Cavariaco dans le recueil des chartes de Cluny[13]. Dans le même ouvrage est mentionné Cavariacus en 974 et Chavariacus en 994.

Vers 1250, dans le pouillé du diocèse de Lyon, Chavairiacus est évoqué pour se référer au village ainsi que Chavayriacus vers 1325. En 1365, on trouve le nom de Chavayria. À la fin du siècle, en 1378 les archives de la Côte-d'Or utilisent Chaveyriacus ou Chaveiriacus puis citent Chaveyria en 1417. Selon les archives de l'Ain, le nom du village est Chaveriacus autour de 1443.

En 1536 est évoqué Chaveyriaz, Chaveriaz l'est aussi en 1584 dans les archives du Rhône. Chaveria serait le nom du village autour de 1650. En 1670, l'enquête Bouchu utilise le nom de Chaveyria, la description de Bourgogne fait de même en 1734 avec Chavériat. Le nom actuel de Chaveyriat apparaît pour la première fois en l'an X dans l'annuaire de l'Ain.

Attestations anciennes

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Chaveyriat vient de Cavariacus qui était le nom d'un domaine d'origine gallo-romaine[14].

Une villa, domaine rural, peut être centre d'essartage dans l'immense forêt de la Gaule romaine, aurait été possédée par un certain Cavarius ou Calavarius.

Au début du Xe siècle, la commune était chef-lieu d'un « ager » (canton) du comté du Lyonnais.

La paroisse, sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste, existe déjà : elle appartient au diocèse de Lyon, puis dépend de Cluny qui y rétablit un prieuré remplacé par une maison de prêtres séculiers quelques années plus tard.

Elle occupait certainement une place importance dans la région, car un marché s'y tenait régulièrement.

Le château de Chaveyriat a été détruit en 1376 par les troupes du sire de Beaujeu, ce château avait été la résidence des premiers doyens de la paroisse.

Située sur la commune, la maison forte de Chavaux était une ancienne seigneurie, avec maison forte, possédée au XIVe siècle par le chevalier Hugues de Marchant, puis, successivement, par les familles de Colomb, de Cheminant, de Varax, de la Cley.

En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le traité de Lyon, le village intègre le royaume de France avec l'acquisition de celui-ci de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.

Entre 1790 et 1795, elle devient une municipalité du canton de Châtillon-les-Dombes, et dépend du district de Châtillon-les-Dombes. Un conseil municipal est constitué après la Révolution.

Brosse ou Broces

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Fief sans justice possédé, en 1272, par des gentilshommes du nom et armes de Broces. Hugues de Broces, dernier mâle de cette famille, le vendit, en 1348, à Verruquier de La Baume, chevalier, dont le fils l'aliéna, le , à Geoffroy de Corsant, damoiseau. Les successeurs de ce dernier le possédèrent jusqu'à Jacques de Corsant, qui en fit vente à Claude Moureau, seigneur du Tremblay, dans la famille duquel il resta jusqu'en 1686, qu'il fut acquis par Claude Garron, baron de Châtenay. Brosse se trouvait encore dans la famille Garron en 1789. La maison forte de Brosse était construite toute en bois et paraissait remonter au XVIe siècle.

Politique et administration

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Mairie.

Administration municipale

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Le conseil municipal est composé du maire, de ses quatre adjoints et des quinze autres conseillers[15]. Les élus sont répartis dans dix commissions[16] : finances, voirie, bâtiment, urbanisme, animation, information-communication, éclairage public, fleurissement, appel d'offres, C.C.A.S.

Maires successifs

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 1995 Alfred Larippe    
1995 En cours Claude Jacquet DVG Éleveur
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

En 2021, la commune comptait 1 036 habitants[Note 3], en évolution de +3,29 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
718567841703908897923947900
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9099199809951 0141 007954967971
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
958922907816771764752726675
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
623616567598766810885907975
2018 2021 - - - - - - -
1 0111 036-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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L'école de la commune forme un RPI avec celle de Chanoz-Châtenay[21].

Les élèves de la commune passant en 6e sont dirigés au collège du Renon de Vonnas. Le lycée de secteur de la commune est le lycée Lalande, situé à Bourg-en-Bresse.

De plus, il y a la crèche Pomme d'api gérée par l'intercommunalité des Bords de Veyle.

Trois associations sportives ont leur siège dans la commune[22].

En premier lieu, l'AS Chanoz-Châtenay - Chaveyriat est un club de football évoluant au niveau départemental sur le terrain de la commune. Cependant, il ne possède que des équipes pour les adultes. Pour les jeunes, le club s'est regroupé avec l'US Vonnas et l'AS Mézériat pour former le Football Club Bord de Veyle.

Se trouve aussi sur le territoire communal un boulodrome non couvert qui accueille l'Union Bouliste de Chaveyriat. Enfin, le Dim Rallye Sport promeut le sport automobile dans les environs du village.

Médias locaux

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  • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national et international.
  • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
  • La chaîne France 3 Rhône-Alpes est disponible dans la région.

Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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Monument aux morts.

Personnalités liées à la commune

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Gastronomie

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Sa localisation entre Bresse et Dombes confère au village une grande diversité gastronomique.

Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane[25]. Les autres spécialités de la Dombes, sont les cuisses de grenouille, le canard ou certains poissons comme la carpe.

La commune se situe dans l'aire géographique de l'AOC Crème et beurre de Bresse[26] et de l'AOC Volailles de Bresse[27]. Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)[28].

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Chaveyriat et Marlieux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Marlieux », sur la commune de Marlieux - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marlieux », sur la commune de Marlieux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Dépliant PDF de la ligne Mâcon-Bourg-Ambérieu.
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bourg-en-Bresse », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Dictionnaire topographique de l'Ain, p.109, sur archives.ain.fr.
  14. Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs », sur henrysuter.ch.
  15. Conseil municipal de Chaveyriat, sur ccbv.fr.
  16. Les commissions du conseil municipal de Chaveyriat, sur ccbv.fr.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. RPI de Chanoz-Châtenay-Chaveyriat, sur www2.ac-lyon.fr.
  22. Liste des associations de Chaveyriat, sur ccbv.fr.
  23. Notice no PA00116374, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  24. a et b Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 18 (cf. Chaveyriat).
  25. Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.
  26. Aire géographique de l'AOC Crème de Bresse., sur inao.gouv.fr.
  27. Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse., sur inao.gouv.fr.
  28. « Chaveyriat, commune viticole », sur Vin Vigne (consulté le ).

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Articles connexes

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Liens externes

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